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@Express SST
Karen Cyr, Lucian Craciun, Fanny Pes-Morissette, David-Alexandre Paquette, François Gagné
@Express SST 17 mars 2022

Tous les spécialistes de la santé le disent et le recommandent, faire de l’activité physique est essentiel à une bonne santé globale. On conseille de faire au moins 150 minutes d'exercices d'intensité modérée par semaine, comme faire de la marche rapide, du vélo ou de la danse ou, encore, 75 minutes d'activité physique intense.

Pour les personnes dont le travail est sédentaire, à l’instar de la majorité des spécialistes, bouger est encore plus vital. S’il n’est pas toujours facile d’intégrer l’activité physique à notre routine, les bienfaits de bouger régulièrement devraient nous en convaincre.

Où trouver le temps dans un agenda déjà bien garni avec le boulot, la famille, les tâches ménagères et j’en passe ?

Nous vous proposons un défi : faire plusieurs pauses actives dans votre journée de travail!

Bienfaits de l’exercice régulier :

  • Améliore l’humeur
  • Aide à mieux gérer le stress ou l’anxiété
  • Améliore la qualité du sommeil
  • Facilite la concentration
  • Augmente le niveau d’énergie
  • Augmente l’espérance et la qualité de vie
  • Améliore la santé métabolique

Défi des pauses actives !

Considérant qu’il est recommandé de faire une pause de quelques minutes toutes les heures, on en profite pour s’activer. Le site intranet d’Hydro-Québec comprend d’ailleurs une page sur la santé globale avec une panoplie d’informations, que ce soit en nutrition, sur l’activité physique ou la santé mentale. Vous pouvez même vous inscrire à des activités de groupe.

Visiter la page Santé globale d’Hydro-Québec

On a testé 4 pauses actives pour vous !

Pause active traditionnelle            

Pause active ludique 

Pause active disco                        

Pause active dans un escalier

Les vidéos, disponibles sur YouTube, ont une durée de 4 à 6 minutes chacune.
Il suffit de suivre le rythme et les indications. 

Allez-y, c’est bon pour votre santé !

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L'importance de la compassion
dans nos vies

Vos émotions négatives prennent parfois le dessus et vous écrasent ? Vous vous culpabilisez ou avez honte de votre vulnérabilité, vous avez l’impression de ne pas être à la hauteur ou avez un sentiment d’échec ?

Lorsque votre monologue intérieur est dévalorisant, prenez un temps d’arrêt pour percevoir la situation, puis réviser votre discours en ayant de la compassion et des mots bienveillants pour vous-même.

Comment être bienveillant envers soi-même ?

Traitez-vous et parlez-vous comme vous le feriez avec un enfant ou un être cher qui vit un moment difficile. Personne n’est infaillible. Permettez-vous de ne pas toujours être au meilleur de vous-même, de commettre des erreurs. Accueillez vos émotions sans jugement et avec bienveillance.

En d’autres mots, lorsque vous souffrez, il n’est pas nécessaire d’en ajouter avec de l’autocritique.

Les bienfaits de l’autocompassion

Encore méconnue, l’autocompassion est une pratique de plus en plus documentée et dont les bienfaits ont été démontrés par nombre d’études. Pour en apprendre plus et pour intégrer l’autocompassion dans votre vie, voici deux articles fort intéressants dans lesquels vous trouverez des conseils pour sa mise en pratique :  

Deux articles à lire 

   La compassion: une réponse à la souffrance des autres ainsi qu'à la sienne !
   Article de Martin Lasalle, dans le Forum de l’Université de Montréal.

   Avoir de la compassion pour soi-même, pourquoi est-ce important ?
   Article de Valeria Sabater, psychologue, sur le site nospensees.fr.

Pour expérimenter l'autocompassion, le site de l’Université de Montréal propose la médiation guidée « La pause d’autocompassion » d’une durée d’environ 6 minutes.

Médiation guidée : La pause d'autocompassion

« En somme, s’autoriser à être imparfait et continuer à s’aimer dans chaque circonstance est un exercice de santé qui vaut la peine d’être pratiqué. Aujourd’hui est un bon jour pour entamer cette voie. » - Valeria Sabater, psychologue

Vos délégués sociaux du 4250

À tout moment, et plus particulièrement en cette période trouble et difficile,
nous sommes là pour vous.

Pour retrouver votre bien-être émotionnel, faites appel à nous,
vos Délégués sociaux (DS) du 4250. Pour une écoute confidentielle et une aide personnalisée, contactez-nous : Liste et coordonnées des DS 4250.

Le Programme d’aide aux employés et à la famille (PAEF)
est également à votre disposition : 1 866 871-5335.

Connaissez-vous les biais cognitifs
ou inconscients ?

Les biais inconscients sont entre autres modelés par nos valeurs et nos croyances. Ils jouent un rôle dans nos décisions, ainsi que dans le regard que nous avons à l’égard des autres ou par rapport à une situation donnée.

Reconnaître nos biais inconscients revêt une importance capitale, puisqu’ils nous empêchent parfois de raisonner et d'agir objectivement. Apprendre à douter de nos premières impressions ou de nos réflexes cognitifs peut permettre de donner un nouvel éclairage sur des situations potentiellement conflictuelles. Prendre en compte que nous avons chacun un bagage différent peut mener à désamorcer des conflits interpersonnels, à améliorer la civilité entre collègues et à participer activement au développement et au maintien de milieux de travail sains et respectueux.

Les biais cognitifs sont des conjectures, des croyances ou des attitudes apprises, dont nous n’avons pas toujours conscience, d’où le « biais inconscient » !

À la fois positif et négatif

Les biais inconscients ou cognitifs sont des préjugés en faveur ou à l’encontre d’une personne, d’un groupe ou d’une idée qui sont influencés par de multiples facteurs, tels que l’apparence physique, l’âge, l’origine ethnique, le genre, les capacités physiques et mentales ou, encore, la religion.

Il existe plusieurs biais inconscients, par exemple :

  • Le biais de popularité
  • Le biais de confirmation
  • Le biais d’ancrage
  • Le biais émotionnel
  • L’effet de Halo

L'impact des biais inconscients

Pour en apprendre davantage sur le sujet, nous vous proposons la conférence sur les biais inconscients : « L’impact des préjugés sur notre prise de décisions ». Durée : 1 h. Ça vaut la peine de l’écouter jusqu’à la fin !

Pour visualiser « L’impact des préjugés sur notre prise de décisions »

Vous n’avez pas une heure ?

Nous vous recommandons de visionner la courte vidéo de Maïtée Labrecque-Saganash qui explique pourquoi nous avons tous des biais inconscients et comment les reconnaître.

Les biais inconscients — 4 minutes

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L’aperçu de février
Bulletin du CPSS 4250

L'aperçu doit être ouvert avec une connexion au réseau HQ.

Voici les sujets abordés dans l’édition de février :

  • L’électricité sera toujours plus rapide que vous…
  • Déclarer un évènement ou une situation dangereuse
  • Mesures en vidéoconférence : ça pourrait sauver des vies !
Consulter le bulletin L'Aperçu de février

Attention, c’est toujours l’hiver !

En auto, à vélo ou à pied, continuez d’adapter vos comportements aux conditions routières. Les températures avoisinant 0°C, on peut encore avoir des surprises avec des chaussées enneigées, glacées ou mouillées, lors de nos déplacements. Évitez un accident ou une chute, soyez attentif et patient, le printemps s’en vient !

En bref

Le CPSS a eu lieu le 23 février dernier. Consulter L’Aperçu pour connaître les dossiers traités.

Nous sommes ouverts à toutes vos suggestions de sujet à diffuser en matière de santé et sécurité. Faites-nous les parvenir à bien-etre@ssphq.org.

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Prenez soin de vous !

Karen Cyr
Lucian Craciun
Fanny Pes-Morissette
David-Alexandre Paquette
François Gagné, responsable politique