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@Express
Catherine Seers
@Express 28 avril 2022

Hydro-Québec évolue dans un environnement complexe qui, pour poursuivre sa mission essentielle, s’appuie sur l’expertise des spécialistes. Il n'est donc pas étonnant que nos rangs augmentent sans cesse. Nous nous distinguons par notre analyse et nos conseils dans une variété impressionnante de domaines. Les spécialistes d’Hydro-Québec, une richesse d’expériences et de savoir !

La pause Syndicale
sur la santé mentale

À l’occasion de la Semaine de la santé mentale, au début du mois de mai, La pause Syndicale vous convie le mercredi 4 mai sur l’heure du dîner à une rencontre avec Karen Cyr, membre du comité Bien-être, et David-Alexandre Paquette, coordonnateur provincial des délégués sociaux du 4250. Venez découvrir les services du Syndicat pour maintenir votre bien-être, ainsi que pour protéger vos droits lorsque votre santé mentale devient un enjeu !

La pause Syndicale 

Thème : La santé mentale
Quand : Le mercredi 4 mai à midi
Durée : 45 minutes environ

Nous vous invitons à joindre la rencontre dès 11 h 55.
Aucune inscription requise.

Semaine de la santé mentale
Préparez-vous à créer un espace pour #ParlerPourVrai

 

L’édition 2022 de la Semaine de la santé mentale met de l’avant l’empathie ! Soyez là, sensible et à l’écoute. Mettez-vous à la place des autres. Pour s’épauler, il faut d’abord s’écouter. Préparez-vous à créer des espaces pour #ParlerPourVrai du 2 au 8 mai.

Nos différences ne font pas de nous des adversaires. Se mettre à la place des autres; C’est ça, l’empathie.

Lorsque quelqu’un est en difficulté, vous n’avez pas à résoudre ses problèmes. Être à l’écoute et sensible à l’autre; C’est ça, l’empathie.

On peut comprendre sans être d’accord. Comprendre les émotions des autres; C’est ça, l’empathie.

Créons un espace pour #ParlerPourVrai

Source : Association canadienne pour la santé mentale

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Ça va mal à’shop : quand le travail rend malade

Par l’entremise de témoignages de travailleurs et de travailleuses, les huit épisodes de 5 à 10 minutes de la série « Ça va mal à’shop » abordent des enjeux concrets et proposent des solutions pour remédier aux problèmes à la source. La FTQ espère que ce projet incitera les milieux de travail à entreprendre des discussions décomplexées et sans tabous sur le sujet de la santé mentale au travail.

« Cette websérie a pour objectif de démystifier les risques psychosociaux au travail et surtout d’enlever le poids de la responsabilité individuelle sur les épaules des travailleurs et des travailleuses qui vivent de la détresse. Il est simpliste de penser qu’il suffit d’une marche par jour pour être indifférent à un emploi toxique ou oppressant! Ce qu’il faut, c’est revoir complètement l’organisation du travail de ces milieux et c’est ce que nous souhaitons entamer avec cette série. Ce n’est pas normal de souffrir au travail et il faut se le rappeler », indique Daniel Boyer, président de la FTQ.

Ça va mal à'shop : quand le travail rend malade

Source : FTQ

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Lettre disciplinaire vs
lettre administrative

Les mesures disciplinaires, dont la lettre de réprimande, sont régies par la convention collective à l’article 9. Cela implique qu’une personne visée par une mesure disciplinaire peut être accompagnée de son représentant syndical lors de la remise de ladite mesure par son gestionnaire ; c’est même fortement suggéré ! L’employeur a également l’obligation de transmettre au syndicat les informations relatives à la mesure dans les deux jours ouvrables de son dépôt à l’employé.
 
De plus, une mesure disciplinaire peut faire l’objet d’un grief, dont le fardeau de la preuve incombera alors à la Direction et, lorsque 12 mois consécutifs se sont écoulés sans aucune nouvelle mesure disciplinaire, les incidents ne peuvent plus être invoqués contre la personne visée et les documents qui y réfèrent, s’il y en a, sont retirés du dossier officiel et détruits.

Lettre administrative, une tout autre histoire

Pour la lettre administrative, rien n’est prescrit. Ainsi, lors de sa remise, le Syndicat n’est pas informé et vous ne bénéficiez pas d’un accompagnement. Surtout, la lettre administrative peut rester dans votre dossier officiel pour toute la durée de votre carrière à Hydro.

Des natures différentes

Une mesure disciplinaire est utilisée par l’employeur afin de signaler qu’un comportement effectué n’est pas conforme à ses attentes et vous pousser à le changer. La mesure vise donc un comportement sur lequel l’employé a un contrôle : arriver en retard, ne pas suivre les directives, etc.

La mesure administrative, à l’inverse, vise des situations qui sont hors du contrôle de l’employé et n’est donc pas un processus visant à punir un employé. Ce n’est habituellement pas positif pour autant. Par exemple des situations mettant en jeu la compétence ou de la formation, de l’absentéisme non fautif, un handicap, etc.

Or, l’employeur remet de plus en plus de lettres administratives à saveur disciplinaire. Cela est important, si vous recevez une lettre administrative et que sa réelle nature vous fait croire qu’il s’agit plutôt d’une réprimande, communiquez-en le contenu à votre représentant syndical dans les plus brefs délais. 

Certains gestionnaires ne peuvent pas continuer à contourner indûment les règles, il faut être vigilant !

Le point sur...
La transition de GTÉ à GISE

Le 4 avril dernier, Mélanie Dagenais, vice-présidente SSPHQ, a rencontré monsieur Stéphane Jean, Directeur principal — Construction, Production et SEBJ, représentant de l'employeur pour le nouveau Groupe Infrastructure et système énergétique (GISE). Il était accompagné de Martine Charbonneau, Directrice — Centre de gestion des actifs transports, et de Nathalie Coudé, Chef — Approvisionnement, contrat et campements. Il a notamment été question de la transition vers UNE Hydro et de l’implantation du programme de télétravail.

Consulter Le point sur... la transition de GTÉ à GISE

Le 1er mai, en marche 
Pour vivre comme du monde

Cette année fut marquée par l’augmentation importante du coût de la vie des ménages québécois. On n’a qu’à penser au prix de l’essence, au prix des logements et à celui du panier d’épicerie. Ce ne sont que quelques exemples qui font que beaucoup trop de travailleurs et travailleuses peinent à joindre les deux bouts.

Pendant ce temps, les salaires stagnent et le salaire minimum ne permet toujours pas de se sortir de la pauvreté. C’est dans ce contexte que les membres de la Coalition du 1er mai ont voulu cette année marcher sous le thème Pour vivre comme du monde à l’occasion de la traditionnelle marche du 1er mai. Une marche aura lieu à Montréal et plusieurs autres activités auront lieu dans les régions du Québec.

1er mai 2022 - Pour vivre comme du monde

Source : FTQ

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Salut !
Catherine Seers