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Catherine Seers
@Express 23 juin

Départ à la retraite du président

L’Assemblée générale a commencé par une annonce inattendue du président. Guy Bergeron, après 4 années à la tête du SSPHQ, a informé les membres qu’il prendrait sa retraite en 2022. Ses prochains mois seront donc consacrés à terminer des dossiers majeurs en plus de procéder à la transition avec la personne qui lui succédera.
 
Cette décision mûrement réfléchie lui permettra de se concentrer sur la gestion d’une fondation qui lui tient à cœur. Cette fondation a comme mission principale de venir en aide aux jeunes enfants, aux femmes enceintes et aux personnes âgées.
D’ailleurs, une campagne de financement commencera un peu plus tard cette année.
 
Fier de ses réalisations et des changements implantés depuis 2017, il a remercié les membres pour leur soutien et leur confiance. Il a rappelé que le pouvoir appartient à chacune et chacun des membres, d'où l'importance de s’impliquer et de participer. « Les décisions étant prises toutes et tous ensemble en Assemblée générale ! », a-t-il déclaré.

Déroulement de l’Assemblée

L’Assemblée générale s’est poursuivie selon l’ordre du jour bonifié, le point « départ » ayant été ajouté au varia en tout début de rencontre. André Poulin, secrétaire général, a présenté les États financiers vérifiés, ainsi que l’évolution des placements. La conseillère syndicale, Karine Rainville, a expliqué les recours déposés par le SPIHQ concernant le télétravail, soit une plainte pour pratique déloyale et ingérence, ainsi qu’une demande d’ordonnance de sauvegarde au Tribunal administratif du travail (TAT). 

1 159 membres ont participé !

Votes

Adoption de l'ordre du jour - 98 %
Adoption du procès-verbal de l'AGA du 3 novembre 2020 - 98 %
Adoption du procès-verbal de l'AGSP du 3 décembre 2020 - 99 %
Nomination d'André Poulin au poste de Secrétaire général entérinée - 88 %

Télétravail

Marc Payette, vice-président Montréal – La Gauchetière, et le président ont brossé le tableau des résultats partiels du sondage sur le télétravail. L’objectif premier du sondage étant d’orienter les actions du syndicat et les prochaines revendications auprès de l’employeur, il s'avère que cette orientation est solide, reposant sur les réponses fournies par 79,1 % des spécialistes actifs à Hydro-Québec.

Ce qui est désormais une certitude, c’est que les membres ne sont pas pressés de retourner au bureau, et que la souplesse doit être le mot d’ordre !  

Mise en garde
sur les tests psychométriques

Votre syndicat a récemment été informé de l’utilisation par Hydro-Québec de tests psychométriques pour mesurer le profil comportemental et évaluer les aptitudes de certains de ses employés. Nous voulons vous en informer et vous mettre en garde.

Pour le moment, ces tests semblent administrés dans certaines unités au GTIC. Ils pourraient cependant avoir cours ailleurs dans l’entreprise, et sous d’autres formes.

L’employeur affirme qu’il ne s’agit pas de tests psychométriques à proprement parler; nous trouvons qu’ils jouent sur les mots. Le syndicat a d’ailleurs exigé que les documents fournis aux spécialistes par Hydro-Québec, dans ce contexte, soient clairement identifiés et mentionnent que le test n’est pas obligatoire.  

Recommandations 

Le syndicat ne cautionne pas l’utilisation de tels tests en milieu de travail. Si l’employeur vous demande de répondre à un tel questionnaire, nous vous demandons de communiquer avec vos représentants syndicaux, et nous vous recommandons de ne pas le compléter, même si vos réponses sont anonymes.

Boucle d'affichages estivale

Une boucle d’affichages de postes vacants pour les spécialistes est en cours du 21 juin au 4 juillet comme prévu par l’entreprise. Toutefois, pour le GTIC, l’affichage des postes sera retardé et aura plutôt lieu du 28 juin au 11 juillet.

Mouvement de personnel
Rappel de l'ordre de priorité

Pour en savoir plus, consulter la page Le comblement de postes chez les spécialistes 
 

Période de vacances
Remplacement du gestionnaire

Une lettre d’entente existe entre Hydro-Québec et le SSPHQ concernant les modalités lors du remplacement d’un cadre pour une courte période par une ou un spécialiste, il s'agit de la lettre d'entente no 5. Celle-ci prévoit notamment que vous conserviez votre statut de spécialiste pour la durée de l’assignation. Par conséquent, vos conditions de travail continuent de s’appliquer (horaire variable, heures supplémentaires, etc.)

Prime

Il est également établi qu’en contrepartie de la surcharge de travail occasionnée par le remplacement, vous touchiez une prime de 4 % du maximum de l’échelle salariale du poste cadre, pour que celle-ci s’applique, « la période de remplacement de courte durée doit être d'au moins une semaine et ne peut dépasser six semaines ». Cela s’ajoute également à la prime du chargé d’équipe, le cas échéant.

Il importe de souligner que, en remplaçant votre patron, vous ne devenez pas cadre. Certains gestes, comme embaucher, évaluer ou discipliner un employé, sont proscrits.

Pour toute information additionnelle, communiquez avec votre représentant syndical.

On vous souhaite de belles vacances !

L'@express fera relâche durant l'été. 

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Salut !
Catherine Seers